Portail de l’art contemporainالمجلة الإفتراضية للتعبير التشكيلي المعاصربوابة الفن المعاصر
C’est quoi
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l'art contemporain
Peut-on définir l’art contemporain comme l’art « en train de se faire » ? L’expression n’est employée de manière usuelle que depuis les années 80, et elle demeure ambiguë. Car tout l’art produit par les artistes vivants, donc contemporains, n’est pas de « l’art contemporain »…
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11 Février | Connaissance des Arts dans vos favoris
الفن المعاصر
sculpture-installationـ نحت وتجهيز محمد الرايس شكل مادي وشكل �إفتراضي
Années 1960 | Années 70 | Années 80
|
Années 90 | Années 00-08 |
Orlan en interview
OrlanLe corps réel, virtuel
Orlan en interview
« Le corps comme lieu de débat public »
Le corps réel, virtuel, hybride, mutant et charcuté. Avec sa propre iconographie, Orlan a développé un discours critique sur les pressions sociales exercées sur le corps. À l'occasion de la sortie de Orlan, Carnal Art, documentaire de Stephan Oriach, elle revient sur quelques faits marquants de sa carrière.
Flu : Carnal Art retrace l'évolution de votre carrière : le Baiser de l'Artiste, les opérations chirurgicales, les images numériques. Comment ont été sélectionnées les séquences ?
Orlan : Stephan Oriach a suivi mon travail pendant plus de dix ans. Je l'ai laissé entièrement libre. C'est son film. Ma carrière n'est représentée que partiellement puisque mon travail commence en 1964. Cela représente deux ou trois éléments forts. Il faut considérer aussi que ce film a été terminé en 1999. Depuis 1993, je n'ai pas refait de performances d'opérations chirurgicales. J'ai différents chantiers dont certains ne sont pas insérés dans le film. Les Self-Hybridations pré-colombiennes, montrées dans le film par l'intermédiaire de l'exposition à la Maison Européenne de la Photographie, mettent en perspective les opérations chirurgicales. Dans mon travail cela a toujours été le même fil ou le même film. J'ai toujours travaillé sur les pressions exercées sur le corps, plus particulièrement sur le corps féminin puisque j'ai beaucoup travaillé sur mon image, ma représentation. J'ai essayé de montrer les formatages dans lesquels nous sommes et que toutes les civilisations fabriquaient les corps mais aussi les « hardwear » et les « softwear » qui sont à l'intérieur. Lorsque l'on dit « je veux », «j'aime », « je désire », tout cela est fabriqué par les modèles que l'on nous a présentés. Je crois que cela se lit dans tout mon travail, de 1964 à aujourd'hui.
Flu : Vous insufflez une véritable logique critique à ce travail...
Cela concerne les pressions sociales, l'idéologie dominante. Je suis une femme de la génération qui a beaucoup lutté pour la contraception, pour l'avortement libre, pour que les femmes utilisent leur corps comme bon leur semblait, que leur corps leur appartienne, en tout cas le plus possible. Cette continuité-là existe dans tout mon travail. Dans les opérations chirurgicales, le plus important pour moi, c'est mon corps devenu lieu de débat public. Mais avant tout, ces opérations ont été des processus conçus pour produire des œuvres d'art. Quand j'organisais une opération, tout était prévu et conçu à l'avance. Je partais d'un texte poétique, littéraire, philosophique ou psychanalytique, de Julia Kristeva, Antonin Artaud ou Michel Serres, la performance était retransmise en direct par satellite dans différents musées du monde. Comme par exemple Matthew Barney, je les prépare avec minutie. Chaque membre de l'équipe médicale était costumée par mes soins, le décor était pensé, l'angle des vidéastes ou cinéastes et des photographes était réfléchi. Je dirigeais tout cela dans le bloc opératoire. Je lisais des textes dès que le geste opératoire le permettait. Je faisais aussi des œuvres dans le bloc : des dessins avec mes doigts et mon sang, des gazes pleines de sang qui ensuite étaient séchées et sur lesquelles je faisais des transferts photographiques. C'était vraiment un processus pour produire des œuvres : des objets, des vidéos, des films et des photos. C'est quelque chose qui peut être difficile à faire entendre.
Le problème de la douleur est aussi un point important. Souvent lorsque l'on voit le film qui fait souffrir, on pense que je souffre alors qu'il s'agit d'une projection. Mon premier deal avec le chirurgien est « pas de douleur ». Je pense que la douleur serait tout à fait anachronique. D'autres artistes du « corps radical » se font souffrir en public, se font des scarifications, des saignements, etc. C'était bon pour les années 70, où beaucoup d'artistes de l' « art corporel » sont allés voir du côté de tous les tabous et de toutes les limites psychologiques et physiques. À l'heure actuelle les artistes qui s'intéressent au corps, se tournent vers le corps et les nouvelles technologies. C'est le corps et la malbouffe, c'est le corps et la pollution, c'est le corps et la maladie, c'est le corps et les manipulations génétiques. Le fameux « Tu accoucheras dans la douleur » est d'un ridicule absolument incroyable car nous avons actuellement toute la pharmacopée pour s'en débarrasser et pouvoir accoucher ou mourir d'une maladie grave sans douleur. Lors des opérations, on fait une petite grimace au moment des injections d'anesthésiants, comme chez le dentiste, et ensuite on a des sensations bizarres. C'est le premier deal avec le chirurgien qu'avant, pendant et après je ne souffre pas. On ne s'en rend pas forcément compte dans le film.
Le problème de la douleur est aussi un point important. Souvent lorsque l'on voit le film qui fait souffrir, on pense que je souffre alors qu'il s'agit d'une projection. Mon premier deal avec le chirurgien est « pas de douleur ». Je pense que la douleur serait tout à fait anachronique. D'autres artistes du « corps radical » se font souffrir en public, se font des scarifications, des saignements, etc. C'était bon pour les années 70, où beaucoup d'artistes de l' « art corporel » sont allés voir du côté de tous les tabous et de toutes les limites psychologiques et physiques. À l'heure actuelle les artistes qui s'intéressent au corps, se tournent vers le corps et les nouvelles technologies. C'est le corps et la malbouffe, c'est le corps et la pollution, c'est le corps et la maladie, c'est le corps et les manipulations génétiques. Le fameux « Tu accoucheras dans la douleur » est d'un ridicule absolument incroyable car nous avons actuellement toute la pharmacopée pour s'en débarrasser et pouvoir accoucher ou mourir d'une maladie grave sans douleur. Lors des opérations, on fait une petite grimace au moment des injections d'anesthésiants, comme chez le dentiste, et ensuite on a des sensations bizarres. C'est le premier deal avec le chirurgien qu'avant, pendant et après je ne souffre pas. On ne s'en rend pas forcément compte dans le film.
Flu : Est-ce ce qui distingue l'Art Charnel du Body Art ?
Oui. J'ai d'ailleurs écrit un texte qui s'appelle le Manifeste de l'Art Charnel. J'ai beaucoup œuvré dans mes conférences, dans les médias et aussi dans les équipes chirurgicales pour que les soins palliatifs soient donnés. Il y a encore quelques années cela se faisait très rarement et actuellement pas toujours. J'ai toujours pensé que mon action, en tant que citoyenne devait être intacte et que mon travail artistique ne me dédouanait pas de cette attitude-là.
Flu : Dans le film, Stephan Oriach insiste sur les performances Opération Opéra (1991) et Omniprésence (1993). Est-ce parce qu'il avait filmé ces performances ou était-ce des expériences particulièrement marquantes pour vous ?
Ce sont des performances importantes mais effectivement il y en a eu d'autres. J'ai fait neuf opérations. Elles ne sont pas toutes égales sur le plan artistique et des images que j'ai pu recueillir. Au début, c'était très difficile de trouver un chirurgien. Celui avec lequel j'ai travaillé a voulu voir comment cela se passait et je lui en suis reconnaissante. Mais j'étais pleine d'impatience et je voulais que ça aille beaucoup plus vite. Il s'est montré très prudent et moi-même ne sachant pas ce que je pouvais faire dans un bloc opératoire, j'ai dû d'abord comprendre ce que l'on pouvait faire et ne pas faire pour pouvoir pousser les limites.
Flu : On sent une complicité avec le chirurgien, qui en l'occurrence est une femme. Elle suit de près votre travail et a voulu s'assurer que vous n'étiez pas « folle »...
Les chirurgiens, avec qui j'ai travaillé, n'avaient pas envie de mettre en péril ni leur carrière, ni moi-même. C'était de bons chirurgiens. On a beaucoup discuté. On est tous capables de faire des choses folles sans forcément l'être. Ou dites folles par la société...
Flu : Après l'opération-performance Omniprésence, votre amie, historienne de l'art, vous raconte que le public peinait à regarder la retransmission simultanée dans la galerie. Vous vous étonnez que les gens soient plus sensibles à ces images qu'à celles dont la télévision les abreuvent tous les jours. Comment expliquez-vous cela ?
L'émission a été retransmise, entre autres lieux, dans ma galerie, la galerie Sandra Gering à New-York. Effectivement, c'est un peu étonnant que tous les jours à la télévision on puisse voir des choses absolument abominables, que dans les films il y ait des scènes horribles de corps ouverts et de violences terribles. La majorité de l'audience ferme les yeux quelques instants et ne rejette pas à la fois le film et le réalisateur pour autant. Dans le domaine des arts plastiques, dès que les images ne parlent pas de choses frivoles ou du bonheur, de choses jolies ou réputées belles, cela devient très difficile à la fois pour vendre et pour que les œuvres soient regardées. Si elle le sont, les réactions peuvent être très épidermiques. L'œuvre et l'artiste, par la même occasion, sont rejetés. Il y a eu énormément de controverse au début de ces opérations, particulièrement en France.
Flu : Est-ce une question de distinction entre fiction et réalité ? C'est peut-être l'aspect réel et « en direct » qui choque le public...
Mais quand la télévision montre des scènes de guerre, que l'on voit mourir des gens en direct, il ne s'agit pas non plus de fiction. Alors peut-être que cela joue, mais on a l'habitude de regarder des choses du côté du réel et non de la fiction. C'est très étrange. Je crois avoir touché un nerf. Il est difficile de concevoir qu'une femme se permette de faire ce qu'elle veut avec son corps, se permette de ne pas se soumettre et se conformer aux habitudes mises en place par l'idéologie dominante, par les hommes. L'homme, en tant que chirurgien, peut avoir plus de pouvoir sur le corps de la femme et se fait le porte-parole de la société pour conformer cette image de femme dite « belle » actuellement. Mon travail a toujours été d'essayer de démontrer que la beauté pouvait prendre des apparences qui ne sont pas réputées « belles » géographiquement et historiquement. J'ai touché un nerf aussi avec cette liberté insupportable. Dès que quelqu'un fait un pas de côté, on lui demande de rentrer dans le rang particulièrement en France. Il ne faut pas que les têtes dépassent, que les choses se passent différemment de ce que l'on a l'habitude de voir. Les artistes sont des chroniqueurs de notre temps un peu plus lucides, et parfois, ils sont des pionniers. Avant, on appelait ça « l'avant-garde ». C'est un mot que l'on ne peut plus prononcer, qui a une origine guerrière. Les premières lignes se font tirer dessus. Ceux qui arrivent après en faisant les mêmes choses, quand les esprits se sont habitués, passent mieux, se vendent et sont acceptés. À toutes les époques, on a dit « ce n'est pas de l'art », « ils sont fous ». Par exemple, on a dit des impressionnistes qu'ils avaient une maladie des yeux, qu'une femme accoucherait immédiatement devant leurs tableaux, que c'était la plus grande supercherie de tous les temps. Et puis, dix ans, vingt ans, cent ans après, suivant les cas, c'est accepté. Je trouve que dix ans après, les choses ont beaucoup évolué pour moi. Cela aurait pu être après ma mort... Mais c'est bien vivante que j'ai des retours heureux. J'ai séparé l'auditoire en deux parties. Ceux qui pensaient que j'étais une des artistes les plus importantes de notre époque, que mon discours était extrêmement valable et peut-être même révolutionnaire, et ceux qui pensaient que ce n'était pas de l'art, que j'étais folle, masochiste. Cela a été très tranché comme réaction.
Flu : La réception de votre travail est-elle aujourd'hui véritablement différente ?
Oui, c'est très différent. Le milieu de l'art est entré en résistance très violemment mais a été contourné par d'autres milieux qui ont compris mon travail, comme les jeunes, le milieu de la cyberculture, le milieu des homosexuels, des dragqueens, le milieu des stylistes, comme Jeremy Scott qui a fait des défilés en fonction de mon travail, Walter Van Beirendonkls. Il avait une marque qui s'appelait W.&L.T et a fait des défilés de mannequins avec les mêmes bosses que moi en maquillage. Beaucoup de livres se sont inspirés de mon travail dont le dernier s'intitule Quand j'étais une sculpture vivante, qui malheureusement essaye de museler toutes les libertés qu'ont prises les artistes contemporains, d'une manière un peu insidieuse. Jan Fabre a fait un spectacle inspiré de mon travail. David Cronenberg a lu mon Manifeste de l'Art Charnel et a écrit Painkillers, qui sera son prochain film : une civilisation du futur où il n'y a plus de douleur, où les rapports sexuels sont faits par l'ouverture des corps. Il m'a invité à jouer un petit rôle. Tout un contour s'est fait autour du milieu des arts plastiques qui est finalement peut-être très conservateur. Les artistes plasticiens sont souvent désignés comme étant des gens qui doivent vendre et être exposés dans les salons. Tout est fait pour faire joli, dans les musées aussi. Il y a les scolaires qui passent le mercredi et les familles le dimanche. Ce n'est jamais facile...
Flu : Les opérations-performances appartiennent à cette idée de transformation radicale, de perte d'identité. Pensez-vous avoir changé d'identité, même s'il reste des éléments immuables, comme votre voix ?
Effectivement, il n'y aurait que la chirurgie réparatrice, mais qui, éthiquement ne fera jamais ce qu'elle pourrait faire, en tout cas, pour qu'il y ait une transformation énorme. Ce qui m'amuse beaucoup finalement. Le principal changement ce sont deux toutes petites bosses qui ont tellement fait réagir, hurler. Alors qu'il y a quantité d'autres femmes qui se font faire d'autres nez, des liftings et finalement on s'en moque un peu. Mais cela ne pose pas trop de problèmes, c'est rentré dans les mœurs. Si on est un peu autre, que l'on ne se conforme pas à ce qui est autorisé, que l'on essaie de faire un pas de côté, de réfléchir par soi-même, d'avoir un minimum de libre-arbitre, c'est là où on vous le fait payer très cher. Mais je ne changerai jamais ma voix, car je travaille sur la représentation. Elle m'habite, elle me dit mon identité. Je suis pour les identités nomades, mutantes, mouvantes. Je pense pouvoir accepter n'importe quelle apparence physique. Mon caractère a changé parce que j'ai fait ce dont je ne me croyais pas capable. J'ai dépassé mes limites. Cela ressemble à la performance d'un sportif de haut niveau, lorsqu'il découvre des cimes inexplorées. Vous avez ensuite un sentiment de dépassement, de sérénité, de calme intérieur qui change votre rapport à vous-même et votre rapport aux autres.
Flu : Considérez-vous les traces de vos performances (vidéos, photos, etc.) comme des documents ou des œuvres à part entière ?
J'ai toujours considéré que mon travail était un processus pour produire des œuvres. On ne peut pas dire qu'un reliquaire avec ma chair n'est pas une œuvre à part entière, même si la chair a été récupérée à un moment dans le bloc opératoire. Beaucoup de photos ont été déterminées à l'avance. J'avais fait des recommandations très précises au photographe comme l'angle ou la lumière que je souhaitais. J'avais entièrement costumé, décoré le bloc opératoire pour passer par une certaine esthétique. J'avais imaginé les images. C'est la même chose qu'un film. Je reprends l'exemple de Matthew Barney qui expose au Guggenheim à New-York. Il fait une performance sportive. Il grimpe tous les balcons de la spirale du Guggenheim et fait un film à partir de cela. On ne se pose pas le problème !
Flu : Cette conception dépend des artistes...
Chaque artiste de la performance a sa manière d'envisager les choses, même à l'intérieur de son travail. Matina Abramovic a fait une performance Méditation à quatre, où quatre personnes regardaient au centre d'une table qui était disposée dans un grand auditorium, dans un palais des sports. Le public était invité à prendre place dans le poulailler et personne n'avait le droit d'avoir un appareil photo ni de caméra. Il n'est rien resté de cette performance, aucune trace. Certains artistes font des performances uniquement pour la trace. Arnulf Rainer fait des grimaces, des performances devant l'appareil photo et ensuite retravaille ces photos. Chacun organise ses performances d'une manière différente. Je dis au photographe exactement ce qu'il doit faire, je choisis les photos et les retravaille, c'est différent d'un photographe dans la salle qui, en paparazzi, attrape des images. À ce moment-là ce sont des traces.
Flu : Vous travaillez aujourd'hui à l'aide de l'outil numérique sur le « corps mutant » en vous inspirant de standards de beauté de civilisations et d'époque différents. Le domaine de la médecine était-il trop limité pour la continuité de votre travail ?
Ce n'est pas du tout le virtuel contre le réel. On peut passer de l'un à l'autre. Ce que l'on peut faire avec le corps est différent. Pour le moment, je ne travaille pas sur le virtuel. Mais c'est un chantier en cours.
Actuellement, avec le groupe australien Symbiotica, je fais une hybridation de mes cellules-souches de ma peau avec celles d'une personne de peau noire, dans la ligne de mes hybridations africaines en noir et blanc. Je les ferai élever dans un laboratoire en Australie pour obtenir une peau métissée d'une dizaine ou une quinzaine de centimètres. Comme dans l'une de mes opérations sur l'arlequin, je vais faire un manteau d'arlequin avec des peaux venues de cellules-souches et de personnes différentes.
J'expose aussi en ce moment à l'AFAA (Association Française d'Action Artistique). Le plan du film part d'une phrase de Godard à propos du film de Jacques Becker Montparnasse 19 que sa seule grandeur est « d'être non seulement un film à l'envers, mais d'être l'envers du cinéma » . Mon idée était de remonter toute la production d'un film à l'envers. J'ai commencé par les affiches, avec mon iconographie. J'ai fait à la Fondation Cartier une émission de télévision à laquelle tout le monde pouvait croire, avec de vrais acteurs, de vrais critiques de cinéma, de vrais présentateurs de télé. Tous ont joué le jeu et commentaient les affiches projetées en prétendant sortir de l'avant-première et en racontant l'histoire. L'émission dure 52 minutes et fait la publicité de ces films qui n'existent pas encore. C'est le groupe Tanger qui a fait la bande-son. Les Éditions Al Dante ont édité un faux DVD. Frédéric Comtet a fait la bande-annonce d'un film qui n'existe pas, qui a été présentée l'année dernière à Cannes avec mes caissons lumineux. On a trouvé un producteur pour faire un véritable film avec des acteurs qui sera distribué en salle et en DVD. Et un autre producteur s'est déclaré à condition que je réalise un de ces films.
Actuellement, avec le groupe australien Symbiotica, je fais une hybridation de mes cellules-souches de ma peau avec celles d'une personne de peau noire, dans la ligne de mes hybridations africaines en noir et blanc. Je les ferai élever dans un laboratoire en Australie pour obtenir une peau métissée d'une dizaine ou une quinzaine de centimètres. Comme dans l'une de mes opérations sur l'arlequin, je vais faire un manteau d'arlequin avec des peaux venues de cellules-souches et de personnes différentes.
J'expose aussi en ce moment à l'AFAA (Association Française d'Action Artistique). Le plan du film part d'une phrase de Godard à propos du film de Jacques Becker Montparnasse 19 que sa seule grandeur est « d'être non seulement un film à l'envers, mais d'être l'envers du cinéma » . Mon idée était de remonter toute la production d'un film à l'envers. J'ai commencé par les affiches, avec mon iconographie. J'ai fait à la Fondation Cartier une émission de télévision à laquelle tout le monde pouvait croire, avec de vrais acteurs, de vrais critiques de cinéma, de vrais présentateurs de télé. Tous ont joué le jeu et commentaient les affiches projetées en prétendant sortir de l'avant-première et en racontant l'histoire. L'émission dure 52 minutes et fait la publicité de ces films qui n'existent pas encore. C'est le groupe Tanger qui a fait la bande-son. Les Éditions Al Dante ont édité un faux DVD. Frédéric Comtet a fait la bande-annonce d'un film qui n'existe pas, qui a été présentée l'année dernière à Cannes avec mes caissons lumineux. On a trouvé un producteur pour faire un véritable film avec des acteurs qui sera distribué en salle et en DVD. Et un autre producteur s'est déclaré à condition que je réalise un de ces films.
Ophélie Lerouge.
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Beaux Arts magazine est un magazine fondé en 1983 et consacré aux arts plastiques sous toutes leurs formes et périodes. Il est publié mensuellement.
Ce magazine est devenu un des leaders européens dans le domaine avec près de 50 000 exemplaires par numéro en 2005[1]. Art-Culture
Plasticien contemporain
DNSEP, Diplôme National Supérieur d'Expression Plastique
الفن المعاصر
projet personnel
المشور الشخصي -Projet Personnel
بحت فني
تشكيلي
معاصر معترف به من طرف وزارةالثقافة الفرنسية،وأمام لجنة محلفة تتألف من خمسة أفراد،ترأس اللجنة الناقد الفرنسي المفتش العام للإبداع الفني المعاصرسابقا،والكاتب العام للمركز الوطني للفنون التشكيلية بباريس حاليا.
المشور الشخصي:نحت وتجهيز ـ نور وظلمةـ شكل مادي وشكل إفتراضي ـ بناء نحتي ورسم هندسي ـ شكل ملموس وشكل محسوس ـ
لقد وجد ت نفسي مرتبطا بهواجس فنية لها علاقة بالنحت ، أملتها افكارلايمكن تحقيقها إلا في هذا الإتجاه، لما يتوفر عليه من إمكانيات هائلة بأفاقها في علا قتها بالفكرة المطروحة ، كفضاء أشتغل من خلاله بحرية مطلقة وبدون قيد ،فبعدا أن وجدت نفسي حبيسافي إيطاراللوحة بالمفهوم التقليدي فكرت في تغيير الفكرة للحصول على مجال أكتر شساعة في الخلق والإبداع ، نظرا لعلاقته بالفضاء والمحيط الذي نعيشه بإستمرار وحاولت استلهام أفكار بنيوية استنادا لمرجعية هندسية ، تمكنت فيها من بناء المنحوتات خضوعا لمتطلبات المحيط ، وتقسيمه بأدوات موا ( النحاس ، الحديد ، الإنارة ...) ،فرضت على عين المتلقي نماذج محددة الشكل بحرية تنقل جسده لولوج حوار بصري تلعب فيه العين والمشاهدة دورا أسا سيا من خلال الإنارة التي إستنبطتها من مرجعية صوفية وهي (النور) بمفهومه المقدس ، أما في يخص موقع تجربتي من التشكيل المغربي ،فهو رهين بعملية نقدية موضوعية تتجاوز إختصاصي ،ولا يمكنني أن أ صدر أحكاما جاهزة عليها ،لما تتطلبه هده العملية من جرد تارخي للتتجارب التشكيلية المغربية من طرف المتخصصين والمتتبعين لإحتوائها. الملحق الثقافي لجريدة الإتحاد الإشتراكي .
برلين> berlin
شيكاغو> chicago
لندن> london
لوس انجلوس> los angeles
> new york
> paris
> san francisco
أروقة الفن عبر العالم
الاثنين، ديسمبر 15، 2008
نحت وتجهيز منشأة sculpture-installatioM el Rais محمدالرايس
Dossier Histoire de l’Art Contemporain, featuring (sans ordre d'apparition particulier):
Roman Opalka
Roman Opalka au Jeu de Paume (I), Bernar VenetSite officiel de Bernar Venet
, Yoko Ono, Ronan & Erwan Bouroullec, Agnes Martin, Marina Abramovic, Olivier Mosset, Michel Parmentier, Barbara Kruger, Pipilotti Rist, Vanessa Beecroft, Ange Leccia, Michel Journiac, Wolf Vostell, Niele Toroni, Rebecca Horn, Luciano Fabro, Jannis Kounellis, Michelangelo Pistoletto, Nils Udo, Vincent Bioulès, Jean-Pierre Pincemin, Jean-Michel Alberola, John Baldessari, Michel Blazy, Alain Bublex, Jake et Dinos Chapman, Sylvie Fleury, Bernard Frize, Lucian Freud, Liam Gillick, Edward Kienholz, Yayoi Kusama, Valérie Mréjen, Jean-Michel Othoniel, Yan Pei-Ming, Ugo Rondinone, Chéri Samba, Rirkrit Tiravanija, Felice Varini, Ellsworth Kelly, Walter De Maria, Ilya Kabakov, Thomas Schutte, Hans Haacke, Damien Hirst, Sol LeWitt, Robert Morris, Lawrence Weiner, Nam June Paik, Art & Language, Daniel Spoerri, Carl Andre, Donald Judd, Frank Stella, Dan Flavin, Richard Serra, Dan Graham, Bruce Nauman, Allan Kaprow, Gina Pane, Christo, Félix González-Torres, Jenny Holzer, On Kawara, Joseph Kosuth, Anish Kapoor, Wim Delvoye, Robert Smithson, Giuseppe Penone, Mario Merz, Ron Mueck, Duane Hanson, Richard Long, Andy Goldsworthy, Daniel Dezeuze, Toni Grand, Pierre Buraglio, Tony Oursler, Bill Viola, Robert Combas, Hervé Di Rosa, Jasper Johns, John Armleder, Georg Baselitz, Erro, Keith Haring, Gerhard Richter, Cy Twombly , Fluxus.
Roman Opalka
Roman Opalka au Jeu de Paume (I), Bernar VenetSite officiel de Bernar Venet
, Yoko Ono, Ronan & Erwan Bouroullec, Agnes Martin, Marina Abramovic, Olivier Mosset, Michel Parmentier, Barbara Kruger, Pipilotti Rist, Vanessa Beecroft, Ange Leccia, Michel Journiac, Wolf Vostell, Niele Toroni, Rebecca Horn, Luciano Fabro, Jannis Kounellis, Michelangelo Pistoletto, Nils Udo, Vincent Bioulès, Jean-Pierre Pincemin, Jean-Michel Alberola, John Baldessari, Michel Blazy, Alain Bublex, Jake et Dinos Chapman, Sylvie Fleury, Bernard Frize, Lucian Freud, Liam Gillick, Edward Kienholz, Yayoi Kusama, Valérie Mréjen, Jean-Michel Othoniel, Yan Pei-Ming, Ugo Rondinone, Chéri Samba, Rirkrit Tiravanija, Felice Varini, Ellsworth Kelly, Walter De Maria, Ilya Kabakov, Thomas Schutte, Hans Haacke, Damien Hirst, Sol LeWitt, Robert Morris, Lawrence Weiner, Nam June Paik, Art & Language, Daniel Spoerri, Carl Andre, Donald Judd, Frank Stella, Dan Flavin, Richard Serra, Dan Graham, Bruce Nauman, Allan Kaprow, Gina Pane, Christo, Félix González-Torres, Jenny Holzer, On Kawara, Joseph Kosuth, Anish Kapoor, Wim Delvoye, Robert Smithson, Giuseppe Penone, Mario Merz, Ron Mueck, Duane Hanson, Richard Long, Andy Goldsworthy, Daniel Dezeuze, Toni Grand, Pierre Buraglio, Tony Oursler, Bill Viola, Robert Combas, Hervé Di Rosa, Jasper Johns, John Armleder, Georg Baselitz, Erro, Keith Haring, Gerhard Richter, Cy Twombly , Fluxus.
Magali Lesauvage
Portail de l’art contemporainبوابة الفن المعاصر
فنون تشكيلية المغرب MAROC Arts Plastiques
L'art contemporain est une nébuleuse d'artistes plasticiens, de mouvements et d'idées.
Ce portail est destiné à guider les visiteurs dans ce labyrinthe et de synthétiser les connaissances actuelles dans toutes les formes d'art actuelles.
كل فن ينتجوه فنانون أحياء،هم معاصرون ،لكن ما يقدموه من أعمال فنيةليست لهاأيةعلاقة (بالفن المعاصر)
Sculpture-Installation projet personnel-DNSEP-(MASTER EN ARTÉtudes d'art en France )
MOHAMMED EL RAIS محمد الرايس تشكيليي
مغربي
مغترب
BIOGRAFÍA
1984
Títulado en PINTURA .Instituto Nacional de Bellas Artes, TETUAN.
1986
Certificado de Iniciación Plástica. Escuela Nacional Superior de Bellas Artes, Dijon
1988
Diploma Nacional de Artes Plásticas. Escuela Nacional Superior de Bellas Artes, Dijon.
1989
Certificado de Estudios Superiores de Artes Plásticas. Escuela Nacional Superior de Bellas Artes, Dijon.
1990(DNSEP
محمد الرايسM el Rais
Título Nacional Superior de Expresión Plástica. Escuela Nacional Superior de Bellas artes de Dijon
Les 57 écoles supérieures d'art qui constituent le réseau de l'enseignement artistique en France sont ici référencées. Placées sous la tutelle du Ministère de la culture et de la communication, elles dispensent toutes un diplôme reconnu par l'Etat. Voir également la liste du Centre national des arts plastiques http://www.cnap.fr
Les écoles d'art étrangères et les écoles des départements et territoires d'outre-mer listées ci-dessous regroupent les établissements d'enseignement artistique avec lesquels l'Ensba a conclu des conventions d'échange d'étudiants et/ou d'enseignants.
- École supérieure des arts appliqués
- Diplôme national d'arts plastiques
- Diplôme national des beaux-arts
- Diplôme national supérieur d'expression plastique
Galerie d'art virtuelle
Une galerie d'art virtuelle est un espace virtuel présenté dans un site Web. Ce type de galerie est apparu en même temps que l'Internet et facilite de loin la diffusion d'oeuvres d'art au niveau international
Mohammed el Rais projet personnel
François BOUILLON Plasticien contemporain français
Il enseigne actuellement à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris
Il utilise des matériaux d’origine naturelle (terre, pierre, feu) ou organique (plume, os), joue des dénombrements, des contradictions.
Il utilise également le dessin, la photographie et l'installation .
Artiste autodidacte, il développe depuis le début des années 1970, un travail proteïforme complexe. S'inspirant ou réutilisant des objets auxquels il confère une sorte de vertu magique, François Bouillon investit des territoires obscurs. Chaque œuvre s'ajoutant aux précédentes comme dans un puzzle, une narration semble prendre forme, fragile, et souvent pleine d'humour.
" Mon travail cherche à créer des équivalences entre des gestes communs, des cultures rurales, des émotions physiques, des formes marquées par des archétypes culturels." - Extrait de l'entretien avec Anne Tronche, in catalogue "être tas", Ed centre culturel d'Issoire.
Un autodidacte est une personne qui a appris par elle-même, en dehors des institutions éducatives (ce qui constitue l'autodidaxie). Études d'art en France | Diplôme français | Deuxième cycle universitaireLa délégation aux Arts plastiques est un service de l'administration centrale du ministère français de la Culture ayant pour mission de favoriser « la création contemporaine dans toutes les formes de l'expression plastique », et d'en assurer la démocratisation (art. 9 du décret du 18 août 2004). A ce titre, elle doit contribuer à valoriser et enrichir les collections publiques d'art contemporain et participer à l'organisation de la formation dans ce secteur. C'est elle qui exerce le contrôle scientifique et pédagogique de l'État sur les établissements d'enseignement public des arts plastiques des collectivités territoriales.
تقريب حداثة الفن
Mohammed el Raisكل فن ينتجوه فنانون أحياء،هم معاصرون ،لكن ما يقدموه من أعمال فنيةليست لهاأيةعلاقة (بالفن المعاصر)...?
Ex-étudiant
de l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Dijon
Ex-étudiant
de L´Artiste François Bouillon
Qu'est-ce que la peinture aujourd'hui
Pierre-Noël DRAIN EX directeur de l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Dijon ENSA Dijon Arts Pl astiques & Design
Ecole Nationale Supérieure d’Art
3 rue Michelet, bp 22566
21025 Dijon cedex, France
03 80 30 21 27
www.ensa-dijon.fr
Sans titre
Pierre-Noël Drain et
Jean-André Cante
1967
Résines polyester et métal
Pierre-Noël Drain etJean-André Cante
Pierre-Noël Drain etJean-André Cante
Les deux artistes se sont associés pour travailler à la décoration du hall d'entrée de l'Institut des Sciences Nucléaires. La variété des résines utilisées, des couleurs employées, des effets de lumière, surprennent le visiteur. Jean-André Cante a surtout travaillé la gravure (notamment en illustrant des livres de Jean Giraudoux), ce qui est infiniment perceptible dans le rendu d'ensemble de cette très grande mosaïque. Pierre-Noël Drain, quant à lui, est devenu par la suite
directeur de l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Dijon poste
qu'il a quitté en 1993
ﺟﻮزﻳﻒ ﺑﻮﻳﺰ:كل إنسان فنان
(كل إنسان فنان) .. كانت هذه الجملة للنحات الالماني الراحل Joseph Beuys مثل حجر الاساس الذى بنيت عليه فلسفة فن ورؤية حياة حاولت تغيير المجتمع بل تغيير العالم بواسطة فن تتلاشى فيه الحدود التى تفصله عن الحياة لكى يصبح الفن حياة والحياة فنا . جوزيف بويز |
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Joseph Beuysﺟﻮزﻳﻒ ﺑﻮﻳﺰ
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Joseph Beuys (Krefeld, 12 de mayo de 1921 - Düsseldorf, 23 de enero de 1986) fue un artista alemán que trabajó con varios medios y técnicas como escultura, performance, happening, vídeo e instalación. Es considerado uno de los artistas europeos más influyentes de la segunda mitad del siglo XX.
Vida y obraحياة وتحفة [editar]
Combatió como piloto en la segunda Guerra Mundial, lo que influyó enormemente en su obra, ya que estrellándose en Crimea y a punto de morir de congelación unos nativos lo rescataron. Lo envolvieron con grasa y fieltro para evitar su muerte y es por ello que ambos elementos serán utilizados de forma habitual en su obra con numerosas alusiones a este suceso.
Trabajó de profesor universitario hasta que fue expulsado años después.
De 1946 a 1951 estudió en la Escuela de Bellas Artes de Düsseldorf donde más tarde fue profesor de escultura.
En 1962 comenzó sus actividades con el movimiento neodadá Fluxus del que llegó a ser el miembro más significativo y famoso.
En 1979, el Museo Guggenheim de Nueva York exhibió una gran retrospectiva de su obra, consolidando su reputación como uno de los más importantes de su tiempo.
Practica el happening.
Joseph Heinrich Beuys, né à Krefeld le 12 mai 1921 et décédé le 23 janvier 1986 à Düsseldorf ; artiste allemand qui a produit nombre de dessins, sculptures, de performances, de vidéos, d'installations et de théories, dans un ensemble artistique très engagé politiquement.
Le travail de Joseph Beuys est un questionnement permanent sur les questions de l'humanisme, l'écologie, la sociologie — et en particulier de l'anthroposophie. Cela le conduisit à définir notamment le concept de « sculpture sociale » en tant qu'œuvre d'art totale, énoncée dans les années 1970 avec « Chaque personne un artiste », par l'exigence d'une concertation créative entre la société et le politique.
A la fois controversé et admiré, Joseph Beuys est considéré comme le pendant allemand des artistes Fluxus, et compte au niveau international comme l'un des artistes majeurs de l'art contemporain.
1. Art moderne
Le destin d'Ahmed Cherkaoui bute accidentellement en 1967 à l'âge de 33 ans alors, qu'en pleine maturité de sa peinture, il semblait promis à l'aboutissement d'une oeuvre des plus signifiantes, riches et autonomes de la confrontation dynamique de ses intérêts plastiques, nourris aussi bien par la tradition arabe et berbère que par les exigences d'une peinture moderne. Il meurt au coeur du débat Orient-Occident, identitaire, en traçant les voies du dépassement.
Depuis, Ahmed Cherkaoui est considéré, avec J. Gharbaoui, comme le précurseur de la peinture contemporaine au Maroc et incarne un des moments les plus importants de son histoire. Une notoriété qui dépasse les frontières, acquise d'abord au sein de l'École de Paris durant les années cinquante et soixante. Son oeuvre y prend une valeur symbolique par son apport original et son travail de symbiose. Il trouve dans l'exil un terrain stimulant qui lui permet de déchiffrer sa propre mémoire et de donner forme à sa résonance créatrice dans une quête lucide, passionnée et propre à son temps.
Mohamed Kacimiكهف الأزمنة الآتية
M. Kacimi
(peintre, poète, créateur d'évènements)
Le peintre Kacimi était la tête de file au Maroc d'une nouvelle dynamique de l'art contemporain, par son engagement contre l'oppression qui s'exprime avec force dans ses installations urbaine comme dans l'expression picturale de ses immenses toiles
le sculpteur
Abdelkrim Ouazzani et son fils
À Tétouan, dans son appartement de l'école des Beaux-Arts, le sculpteur Abdelkrim Ouazzani et son fils
Répertoire des Arts au Maroc
ARTS PLASTIQUES |
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